mercredi 6 juin 2012
Pensée
Il y a des rencontres furtives
de belles évidences
des fulgurances
que l'on porte en soi.
Courants d'air et éblouissements.
Amitiés éclairs, vitesse d'une belle lumière.
Il y a ces vives étincelles
qui crépitent
et qui trouvent
dans le nœud de mon ventre
dans la boule de ma gorge
un nid où se blottir.
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Très beau, si triste...
RépondreSupprimertrès beau texte sur une amitié naissante, une amitié coup de foudre on dirait.
RépondreSupprimerune amitié naissante, et trop tristement interrompue?
RépondreSupprimerC'est exactement ça...
Supprimerla beauté de ces mots rendent terriblement bien hommage à cette rencontre là
RépondreSupprimer...
des bises
Ça fait un moment déjà
RépondreSupprimerque je suis de loin
vos paroles enchantées
chargées de beauté.
Je vous en félicite
et vous salue
chaleureusement
de l'autre côté de l'océan.
Oh…
RépondreSupprimerj'ai connu quelques fois cette douleur… mais avec le temps, même si la mélancolie des bons moments subsiste, je me suis aperçue que ces ruptures m'avaient aussi beaucoup appris… je me permets de reprendre une citation d'un auteur que j'aime beaucoup, et qui me revient souvent à l'esprit :
« Il est inévitable qu’à un moment donné, même les meilleurs amis du monde croisent sur leur chemin un objet qu’ils ne peuvent ni ne souhaitent partager. »
in Shakespeare. Les feux de l’envie.
René Girard, éd. Grasset, 1990.
Qu'ils sont beaux tes mots !
RépondreSupprimeret bravo pour tes jolies photos.