Des tableaux brodés de Félicia Ducroquet, ce que j'aime le plus c'est le côté caché. Au dos du tableau, les fils vivent leur propre vie. Le graphisme n'est pas maîtrisé... mais il s'en dégage bien plus de force. Sur l'envers du décor, les prés deviennent des friches et la mer un océan démonté.
j'aime moi aussi beaucoup l'envers de la broderie, l'envers des choses...
RépondreSupprimerBien vu!
RépondreSupprimerMais cela me fait tout de même penser à la Tapisserie de l'Apocalypse, conservée à Angers. L'envers est aussi parfait que l'endroit. Aucun noeud aucun fil rebelle. Tout ce monde de laine et d'or est sage, mais alors les couleurs sont d'une intensité extraordinaire! Une doublure protégeait ces fils de la lumière. Aujourd'hui, on peut voir les photos de l'envers, mais pas le vrai ...
J'aime ton regard.
RépondreSupprimerUne joli rencontre de blog!
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec toi, l'envers du tissu brodé est souvent plus boulversant que l'endroit.